Les vrais paradis

L’autre jour, je suis repassé presque par hasard rue des Grands-Augustins avant de poursuivre mon chemin en direction de la Seine, avec un peu plus loin, les façades du musée du Louvre qu’éclairait une lumière automnale. En traversant le Pont-Neuf, je repensais à ces années quand, «néophyte», je lisais Balzac, Lire la suite…

Tons neutres

Ce jour d’hiver, nous longions un étang, Le soleil était blanc, comme maudit de Dieu. Quelques feuilles gisaient sur la terre stérile, Tombées d’un frêne et grises. Vous aviez pour moi le regard qui se perd Dans la banalité des secrets éventés, Nous échangions quelques paroles Qui appauvrissaient d’autant notre Lire la suite…